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Portrait de Dario Othily,

Dario Othily

Dario Othily,Gestionnaire de dossiers, pôle comptabilité ordonnateur

Au-delà de ses missions comptables, Dario Othily assiste les services techniques dans l’élaboration et le suivi de leurs commandes. La réglementation est complexe. S’y conformer suppose rigueur et transparence. Ce n’est pas pour déplaire à Dario Othily qui voit sa mission comme un service !

Dario Othily avait trois rêves

Dario Othily avait trois rêves

Dario Othily avait trois rêves : quitter sa Guyane natale pour venir en métropole, vivre « le rêve américain » et découvrir l’Australie. Il a déjà exaucé les deux premiers. Toulouse et Nîmes pour étudier la comptabilité et la gestion des entreprises, et une année à Baltimore où il admire la capacité des Américains « à continuer de se former à tout âge ». Il en revient avec une bonne maîtrise de l’anglais. Quant à l’Australie, ce sera pour plus tard.
Dario Othily choisit de poser ses valises à Paris, et trouve un poste à l’Etablissement français des greffes. La curiosité fait le reste : «  Le mot “ greffes ” m’a intrigué  », confie-t-il. « Autour de moi, on croyait que je travaillais au tribunal ! Et puis, après avoir eu des emplois dans le privé, j’avais envie de connaître le service public. » C’est la démarche globale de service dans laquelle s’inscrit sa mission qui le passionne : « Nos interlocuteurs ne sont pas des “clients” comme les autres. Je mets volontairement des guillemets car je prends le terme dans son sens noble : une personne, en face de vous, qui attend un service bien particulier. »

Exigence, rigueur, diligence : ces trois qualités caractérisent l’engagement de tous à l’Agence de la biomédecine, équipes ressources et médicales confondues. En amont et en aval de la chaîne, tous partagent une même volonté de s’investir. Dario Othily en a conscience : en arrière-plan de son travail, il y a les patients et donc une forme d’espérance, avec au bout, un nouveau départ, une nouvelle vie possibles. « Le matin, dès que je passe la porte pour entrer dans l’Agence, je suis interpellé par cette réalité. Impossible de rester indifférent. »
Nécessité aussi de faire preuve de patience, de pédagogie et d’humilité dans un environnement où les missions de chacun sont diverses, Dario Othily le reconnaît… Mais c’est ce facteur humain qui donne tout son sens à son métier.

Bloc sans titre

« Le fait de travailler à l’Agence de la biomédecine n’est pas neutre. Nous touchons à des sujets sensibles parce que nous touchons à l’humain. »

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